Les talents du Groupe Kardol
Adrien, développeur au sein de la branche Solutions Web et Mobile du Groupe Kardol, partage avec nous son parcours, nous parle de son métier et de ce qui fait qu’il l’aime.
- Poste : développeur web junior
- Agence : Villefontaine – pôle K-WEB
Pour commencer, parle-nous de toi un petit peu…
J’ai 27 ans et je travaille chez Kardol depuis mai 2018. Avant ça, j’ai eu un parcours un peu atypique… J’ai commencé par aller vers l’administration économique et sociale, puis j’ai bifurqué vers un BTS SIO option SLAM*, mais orienté logiciel, donc peu de web.
A cette époque-là, j’ai décidé de faire une pause dans mes études et comme le monde de l’animation m’attirait vraiment, je ne voulais pas ne pas avoir essayé (j’ai pas mal travaillé en colo avec des enfants ou adultes handicapés et j’aimais beaucoup). J’ai commencé par animer des TAP puis j’ai effectué un service civique dans un centre de suite de soins et de réadaption.
Quand le contrat a pris fin, et comme l’informatique me manquait, j’ai décidé d’y revenir. J’ai participé à la Piscine du 101, l’épreuve d’entrée de l’Ecole 42 de Xavier Niel. C’est complètement fou mais super sympa. Je n’ai pas intégré l’école, mais j’ai vraiment aimé cette expérience et j’ai pu apprendre beaucoup de choses. Et puis, ça m’a permis de découvrir l’IT-Akademy (Lyon) qui était plus proche de ma philosophie et plus centrée sur le développement web, ce que je voulais vraiment faire. J’y suis entré pour dix huit mois, j’ai fait six mois en présentiel puis un an en apprentissage, chez EXIMEO.
Peux-tu nous expliquer ton métier de développeur web en quelques mots ?
Je fais des couleurs ! Plus sérieusement, je crée des sites internet et des applications. Dans notre métier, on fait le lien surtout entre notre client et le client de notre client. On intervient pour mettre en forme l’idée que notre client a pour accueillir son propre client sur son site. C’est important… On a une vraie responsabilité vise à vis de lui. Parfois, il faut ruser un peu pour réussir à faire ce qu’on veut et c’est un métier qui a quand même une grande partie créative, pas au sens artistique mais au sens de construire quelque chose. On a une latitude relative, mais qui est intéressante.
Quelles qualités te semblent nécessaires pour devenir développeur ?
Comme je le disais, la créativité. Le développement demande d’avoir une démarche assez didactique, rigoureuse, faire les choses étape par étape. Il faut aussi savoir s’auto former de manière constante, se tenir informé parce que c’est un domaine en évolution constante et rapide. Enfin il faut vraiment aimer ce qu’on fait parce qu’être développeur web c’est vraiment avoir le nez dans le code toute la journée. Si on aime c’est cool, si on n’aime pas trop, ça peut vite paraître long.
Qu’est ce que tu aimes dans ton métier ?
Encore une fois, la créativité ! Mais aussi l’aspect technologique et évolutif de toute cette technique qui t’oblige à mettre en place une veille constante sur tout ce qui se passe dans ce métier qui évolue en permanence. Il y a toujours des choses à apprendre ! Il faut savoir se ré-inventer : c’est archi plaisant de savoir que dans 10 ans, tu pourras faire le même métier – si tu en as toujours envie – mais complètement différemment !
Un conseil pour quelqu’un qui débute dans le développement ?
Il faut s’y mettre, clairement, se plonger dedans et travailler beaucoup. Il y a tellement de ressources sur internet etc. Comprendre les bases, c’est essentiel. A mon avis, il faut commencer par l’algorithmie et les réseaux ; comprendre le fonctionnement d’internet (pour pouvoir faire du web, c’est incontournable). Je trouve que c’est un aspect fondamental et qu’il est trop peu vu dans les formations actuelles. On en revient donc à ce que je disais : il faut savoir s’auto-former.
3 verbes pour définir ton métier ?
Rechercher – S’adapter – Développer (au sens technologique du terme)

Comment as-tu été amené à postuler chez GROUPE KARDOL ?
Je n’ai pas postulé directement chez KARDOL. Je travaillais chez EXIMEO quand la société a intégré le GROUPE KARDOL. J’ai participé à un Job Dating pendant mes études pendant lequel j’ai rencontré Alain. Comme entre nous ça avait bien matché et que la pluralité des projets du poste m’a plu, j’ai rejoint la société. J’aurais pu partir au moment du rachat, mais l’aventure KARDOL me tentait. Tout s’est fait très naturellement finalement.
Qu’est-ce qui a fait que l’aventure GROUPE KARDOL t’a tenté ?
Parce qu’on me proposait un CDI et que j’avais envie de continuer à travailler avec mon responsable. C’était vraiment la suite logique.
Comment te sens-tu au sein de cette entreprise ?
Je ne suis pas au siège, mais dans la branche Web du groupe, baptisée K-WEB, à Villefontaine. Je me sens bien, tranquille. A chaque fois que j’ai une question, on y répond, quel que soit l’interlocuteur. Il n’y a pas trop de monde, on a pas mal d’autonomie sur nos projets. L’ambiance et le cadre de travail sont agréables. On se fait des vendredis déj-jeux. C’est vraiment cool. Et je n’ai pas vu de différence entre la TPE EXIMEO et la PME GROUPE KARDOL : je n’ai pas l’impression d’être dans une grosse structure, et ça j’aime bien.
Qu’est-ce qui t’a surpris quand tu es arrivé ici ?
La bienveillance. Le peu de distance qu’il y a entre la direction et le reste des employés. Maud et Alexandre sont vraiment simples et c’est plutôt plaisant. Il y a une vraie proximité, on les appelle par leur prénom, les tutoie… Ils ne se mettent pas à part ou au-dessus de nous. D’ailleurs l’état d’esprit général est vraiment plaisant, on marche beaucoup à la confiance.
Pour finir, si tu devais citer 3 adjectifs pour définir KARDOL ?
Frais (dans le sens jeune, dynamique, bonne impulsion, actuel et moderne).
Bienveillant.
Plaisant.
Merci Adrien pour cet entretien !
* BTS Services informatiques aux organisations option solutions logicielles et applications métiers (SLAM)
** (Temps d’Accueil Périscolaire dans les écoles primaires)